lundi 8 février 2016

Le cancer du sein: prédisposition, prévention

Introduction:

Un cancer signifie la présence de cellules anormales qui se multiplient de façon incontrôlée. Dans le cas du cancer du sein, les cellules peuvent rester dans le sein ou se répandre dans le corps par les vaisseaux sanguins. La plupart du temps, la progression d’un cancer du sein prend plusieurs mois et même quelques années.
Le cancer du sein est le cancer le plus diagnostiqué chez les femmes à travers le monde, autant avant qu’après la ménopause. Une femme sur 9 sera atteinte d’un cancer du sein au cours de sa vie et 1 femme sur 27 en mourra.
Le taux de survie 5 ans après le diagnostic varie de 80 % à 90 %, selon l’âge et le type de cancer.
Le nombre de personnes atteintes a progressé légèrement mais régulièrement, au cours des 3 dernières décennies. Par contre, le taux de mortalité a continuellement diminué au cours de la même période, grâce aux progrès réalisés en matière de dépistage, de diagnostic et de traitement.

Quelle est donc la prévention pour le cancer du sein? En quoi consiste le traitement?


Pour certaines personnes, il est possible de prévoir la formation du cancer du sein. Voici quelques risques:

-Sexe féminin. Moins de 1 % des cas de cancer du sein touchent des hommes et ceux-ci ont en général plus de 60 ans.

-Âge. La maladie touche très rarement les femmes de moins de 30 ans. Environ 85 % des cas surviennent à 50 ans ou plus.

-Antécédents familiaux. Le fait d’avoir une mère, une sœur ou une fille atteinte d’un cancer du sein ou d’un cancer des ovaires augmente le risque d’en être atteint. De 5 % à 10 % des cancers du sein seraient causés par une anomalie transmise par l’hérédité.

-Antécédent personnel. Le fait d’avoir déjà eu un cancer à un sein accroît le risque qu’un second cancer se forme.

Il existe 4 catégories de traitements :
  • la chirurgie: c'est-à-dire qu'on retire la tumeur lors d'une opération.
  • la radiothérapie: elle détruit les cellules cancéreuses et réduit le risque qu'une nouvelle tumeur réapparaisse.
  • la chimiothérapie: elle détruit aussi les cellules cancéreuses par le biais d'une injection de produits. Elle est utilisée généralement après la chirurgie.
  • la thérapie hormonale: elle ralentit ou provoque l'arrêt de la tumeur en bloquant les hormones.
 
Sachant que le cancer du sein peut être retransmit de façon héréditaire, on est confronté à la problématique: Peut-on choisir de laisser se développer un embryon si l'on dépistait systématiquement qu'il est atteint du cancer du sein?

 Le risque est de séparer les personnes en deux groupes: la "race pure" et la "race impur" ou, comme dans l'extrait, une sous-classe.
C'est donc une discrimination et c'est également très choquant.

Cependant, ce système permet aux personnes parfaites du point de vue génétique de trouver un travail adapté à eux-mêmes. On diminue aussi les risques du travail liés à notre santé.

  Conclusion:

On ne peut pas empêcher le développement d'un embryon uniquement parce qu'il a des risques d'être victime du cancer du sein car c'est discriminatoire. De plus, la majorité de ces tumeurs ne sont pas mortelles; il est donc choquant et inutile d'interrompre le développement d'un embryon.

 

La sélection des embryons suite à un dépistage prénatal : intérêts et risques

La sélection des embryons suite à un dépistage prénatal : intérêts et risques

Le dépistage prénatal :

Dans le suivi des grossesses, la médecine prénatale est devenue en une trentaine d’années une entité à part entière grâce aux progrès de l’échographie.
Il est urgent de nous interroger sur les enjeux du dépistage prénatal qui engage l’avenir de nos métiers de la grossesse mais aussi de notre société.
Le dépistage prénatal est effectué avant la naissance du bébé. L’exemple de la trisomie 21 est particulièrement démonstratif sur ce sujet quand la quasi totalité des fétus détectés porteurs sont éliminés. Il nous aide aussi à appréhender ce que pourront être demain les perspectives et les implications du dépistage dans le vaste champ du diagnostic prénatal (DPN).


Les risques de la sélection des embryons suite à un dépistage prénatal  suite à un dépistage prénatal, il est possible de pratiquer une sélection des embryons pour permettre à un couple une meilleure grossesse. Le DPN vise à dépister d'éventuelles anomalies chromosomiques ou demander la sélection d'un embryon parmi ceux constitués à partir de leurs gamètes.

La sélection des embryons :

La sélection des embryons à transférer est une décision basée sur leur évolution tout au long des différents jours de culture. Cette évaluation se fait sur la base d'une série de paramètres tels que la vitesse de division, et donc, le nombre de cellules que présente l'embryon, la morphologie de ces cellules, l'observation d'un seul noyau dans chacune d'elles, le degré de fragmentation, etc.
En général, les embryons se trouvant dans des étapes plus avancées et ayant une meilleure qualité morphologique seront sélectionnés, l'expérience de l'embryologue étant décisive sur ce point. Uniquement à travers un examen  journalier de chaque embryon et en s'aidant des meilleures méthodes pour leur analyse, un embryologue avec expérience pourra offrir le meilleur pronostique de grossesse pour chaque couple.



   Le nombre d'embryons à transférer dépendra, non seulement du dossier médical, mais aussi de l'évolution des embryons. Les probabilités d'implantation de quelques embryons s'amélioreront avec l'augmentation du nombre d'embryons de bonne qualité transférés, mais, logiquement, le risque de grossesse multiple s'accroît également. On essayera toujours d'obtenir les meilleures possibilités de gestation mais en évitant, dans la mesure du possible, une grossesse multiple. De la même façon qu'il y a longtemps on optait pour le transfert d'un nombre relativement élevé d'embryons, de nos jours, les nouvelles techniques d'évaluation permettent de sélectionner ceux qui disposent d'un meilleur pronostique d'évolution, de sorte que, en transférant moins d'embryons, on obtient un plus grand nombre de gestations.


Les intérêts de la sélection des embryons suite à un dépistage prénatal :

Tout d’abord on peut prévenir un risque de maladie comme la trisomie 21 et permettre la sélection d’un autre embryon au couple porteur d’un enfant atteint d’une maladie génétique. Le dépistage prénatal permet aussi à un couple d’avorter si l’embryon est atteint d’une maladie génétique.

Les risques de la sélection des embryons suite à un dépistage prénatal :

En premier le risque de la sélection des embryons suite à un dépistage prénatale est le fait que la sélection des embryons augmenterait le risque de tumeurs à l’avenir pour les futurs enfants.

Les polémiques sur la sélection des embryons :

Selon beaucoup de scientifiques, la sélection des embryons est une nouvelle forme d’eugénisme. Ce tri génétique serait plus tard quasi systématique, il n’y aurait plus que des enfants «souches».


En conclusion :

La sélection des embryons suite à un dépistage prénatal permet à beaucoup de couples d’avoir des enfants qui ne sont pas atteint par des maladies génétiques ou chromosomiques malgré les risques que les enfants est des tumeurs quand ils seront plus âgés.


De Hugo Mercadié et Simon Claveau
Conséquences après le cancer :

Le taux de guérison du cancer du sein atteint aujourd'hui les 90%. C'est ainsi qu'en France, plus de 400.000 femmes sont concernées par " l'après cancer du sein ".

Que faire après un cancer du sein ?

Après un cancer, il faut bien prendre soin de son corps, adapter une nutrition saine mais aussi bien gérer sa souffrance morale.

L'activité physique : Il est aujourd'hui démontré que l'activité physique modérée diminue le risque de cancer du sein de 20% à 40%, à raison d'au moins 30 minutes à 1 heure par jour. l'activité physique diminue aussi la mortalité et les récidives du cancer du sein de 30 à 50%, à raison par exemple de 30 minutes de course à bon pas, 4 à 5 fois par semaine.

La nutrition : L'alimentation joue un rôle essentiel dans la progression des maladies chroniques modernes (diabète, cardiovasculaire, obésité, Alzheimer, arthrite...), dont le cancer. La façon de se nourrir agit en prévention du cancer du sein mais aussi en prévention des rechutes. A noter également que les effets de l'alimentation sur le cancer du sein sont démultipliés par la synergie avec l'activité physique.

La souffrance morale : L'après cancer du sein est souvent vécu comme un grand vide. Une fois guérie, le soutien des proches et des professionnels de santé s'efface, laissant place à une période " de déstabilisation psychique " pouvant mener à des troubles anxieux, dépressifs ou réactionnels.
On doit " retrouver des repères vitaux, devant intégrer les changements inhérents à la maladie, le sentiment d'incertitude, la peur de la récidive et perception d'un isolement, d'une marginalisation sociale ".










Traitements :

Pour le cancer du sein, il existe différents traitements tous comme les autres cancers. Les traitements les plus rependus sont :
-La chimiothérapie
-L'hormonothérapie
-Une radiothérapie .

La chimiothérapie  c'est une méthode de traitement par des maladies par des substances chimiques. Elle est généralement administrée par injection. Ce traitement nuit à la croissance des cellules cancéreuses, mais il perturbe aussi les cellules saines. Les effets secondaires courants de la chimiothérapie comprennent les nausées, les vomissements, la perte de cheveux et l'infection.

L'hormonothérapie  contribue elle aussi à enrayer la croissance des cellules cancéreuses; les femmes ménopausées qui ont un cancer positif aux récepteurs des œstrogènes peuvent y avoir recours pendant 5 ans si nécessaire. Les bouffées de chaleur et les règles irrégulières figurent parmi les effets secondaires courants de l'hormonothérapie.

La radiothérapie est souvent administrée après une tumorectomie ou une mastectomie partielle afin de détruire les cellules cancéreuses qui peuvent persister dans le sein et parfois dans l'aisselle et la paroi thoracique. Les effets secondaires de la radiothérapie, telles la rougeur de la peau et la fatigue, s'expliquent par la destruction de tissus sains dans la région traitée et disparaissent d'eux-mêmes une fois le traitement terminé.
L’obésité :
Qu’est ce que c’est l’obésité ?
L’obésité est l'état d'un individu ayant un excès de poids par l’augmentation de la masse adipeuse. L'obésité se définit par un indice de masse corporelle égal ou supérieur à 30 ; on est considéré obèse.
Est-ce que l’obésité est un caractère héréditaire ?
shema des facteurs 
L’obésité n’est pas un caractère héréditaire mais récemment une étude du Royaume-Unis (Aso) a constaté que les enfants dont les deux parents sont obèses, ont 70 % de chance de devenir obèse à leur tour. Alors que 20% si les parents sont minces. Un homme sur deux adu surpoids ou il est obèse (INSEE).
Plusieurs teste on était fait sur des jumeaux et des individu autre,  Ainsi, si on donne à manger à différentes personnes 1000 calories de plus par jour pendant 3 mois, certaines vont grossir de 2 kg et d'autres de 12 kg ! En revanche, dans cette même situation, de vrais jumeaux prendront le même poids, ce qui confirme le rôle de la génétique dans la prise de poids.
Comment devient ton obèse et pourquoi ?
On devient obèse à cause de 4 grands facteurs qui sont :
-Mauvais régimes alimentaires (manger trop gras, trop salé et trop sucré en grande quantité)
-Grignoter entre les repas. Tous grignotages et aliments grignotés se transforment en masse graisseuse.
-Remplacer de l’eau par de l’alcool et, ou du soda fait grossir.
-Manger rapidement car on ne laisse pas le temps à notre cerveau de se dire que l’on n’a plus faim! Donc on mange plus que nous ne devrions manger.
On devint obèse à cause d’une activité physique insuffisant et d’une alimentation trop riche en calorie 

Dormir plus pendant le weekend augmenteraient le risque de surpoids voir d être obèse (l horloge interne et changer et ne garde pas la même heure de réveil entre la semaine et le weekend)
Quel est le rôle de l’environnement ?
Le rôle environnemental est stress, les virus, la prise de certains médicaments que l’homme est obligé d’ingurgité pour soigner son mal, la composition de la flore intestinal peut aussi jouer un rôle important dans l’obésité.
L’environnement des polluants influence l’alimentation maternelle.
Quelles sont les conséquences :
Les conséquences sont le diabète, l’arthrose, les maladies cardiovasculaires, l’hypertension.
Elle peut également concernées l’apnée du sommeil, les problèmes d’articulation et le cancer.
Cela réduit notre espérance de vie de 13 ans pour les personnes les plus atteintes.
l age joue aussi un role:



Autisme : influence de l'environnement et prédisposition génétique

AUTISME : influence de l’environnement et prédisposition génétique



Sommaire :

·     Introduction
·     Prédisposition génétique
·     Influence de l’environnement
·     Conclusion




Introduction : Selon la classification internationale
des maladies de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), l’autisme est un trouble envahissant du développement qui affecte les fonctions cérébrales. Il est caractérisé par un isolement, une perturbation des interactions sociales, des troubles du langage, de la communication non verbale.

Les garçons seraient quatre fois  plus touchés par l’autisme que les filles.
Selon des études l’autisme est lié à la génétique mais aussi à l’environnement.    

Prédisposition génétique :
Le risque d’avoir un enfant autiste est 45 fois plus élevé dans les familles où il y a déjà un autiste que dans la population générale. Pour le cas des jumeaux, si l’un est autiste, l’autre a 60 à 90% de chance de l’être. Pour les enfants ayant un frère ou une sœur atteint d'autisme, ils sont dix fois plus susceptibles de développer eux-mêmes la maladie. Ce qui suggère qu’il existe une prédisposition génétique pour les troubles autistiques.

L'enfant doit avoir reçu une paire de gènes à risque, aussi bien de son père que de sa mère, pour avoir une prédisposition génétique complète à l'autisme. Cependant, la plupart du temps, il n'est pas question que de prédisposition, d'autres facteurs doivent également être présents pour permettre au trouble du développement de se manifester (comme certains facteurs environnementaux).

Il y a peut-être des dizaines de gènes à risque qui, selon différentes combinaisons, peuvent engendrer de l’autisme. Cela signifie donc que des combinaisons génétiques différentes sont à l'origine de l’autisme dans les familles.



Une étude a mis le projecteur sur une région du chromosome 11 qui serait impliquée dans la prédisposition à l’autisme.
 D'autres chercheurs ont notamment identifié le gène neurexin-1, connu pour son action sur la communication entre les neurones. D’autres études devront maintenant éclaircir la façon dont ce gène influence le développement cérébral de l’enfant.

Influence de l’environnement :
Une étude qui vient de paraître et qui est menée sur un échantillon très important (2 millions de personnes en Suède et dont 14 000 étaient autistes), bouleverse ces certitudes en relativisant les causes génétiques de l'autisme.
Plusieurs facteurs à risque de l’autisme ont été pointés du doigt :
   L’âge du père ou de la mère augmente le risque d’autisme chez l’enfant, en raison probablement du vieillissement des cellules                   reproductrices.
   La prise de médicaments avant et pendant la grossesse comme les antiépileptiques ou les antidépresseurs
    Les complications à la naissance  : une anomalie périnatale pouvant causer un dommage au cerveau par défaut
    L'exposition à certains agents infectieux pendant la grossesse : rubéole, grippe
    L’exposition aux pesticides, aux substances chimiques dans certains produits cosmétiques et médicaments en vente libres
   L’exposition à la pollution atmosphérique










L’environnement « psycho-affectif » est aussi responsable de l'évolution de l’autisme : si les parents rejettent leur enfant atteint de la maladie, l’autisme se développera d’avantage que si les parents l’entourent.

L’environnement éducatif compte aussi, il peut permettre d'améliorer la vie de l'enfant : les autistes accompagnés de personnes qualifiées et des méthodes adaptés à leurs déficit, font des progrès toujours significatifs. Ils peuvent retrouvés, à près de 50%, un parcours de vie ordinaire.





Conclusion : On ne trouvera jamais « le gène de l’autisme » car il n’existe pas, ou plutôt il n’y en a pas qu’un seul. L’autisme, comme le cancer, les maladies cardiovasculaires ou le diabète, provient d’une multitude de facteurs de risques génétiques qui se combinent avec des facteurs environnementaux biologiques ou affectif ou chimiques comme les polluants ou certains médicaments.
Les scientifiques comprennent encore mal les origines de l'autisme, et plus de recherches sont nécessaires dans ce domaine. Des études récentes se sont notamment penchées sur l'origine prénatale (pendant la grossesse), de ce trouble du développement.